Il dissimula son sac dans le voilier après que le cyclone pulvérisa subitement sa voiture neuve et se dirigea vers le village. Le sol était jonché de branches cassées et de toitures arrachées. Il traversa rapidement la route en vérifiant que des habitants étaient occupés à réparer les dégâts. Lorsque tout soupçon fut écarté, il décida de fracturer la porte miraculeusement intacte. Celle-ci résista au coup de pied, il sursauta et prit minutieusement la lame à la place de la clé. Il réussit à débloquer la serrure.
Léo pénétra dans la cuisine sans allumer la lumière. Une odeur de mort flottait dans la pièce saccagée et il sourit.
Son idée de départ était de disparaître le lendemain, dès que sa fille aurait déconnecté tous les capteurs nanotechs qui étaient implantés dans la nuque du chien.
Mais nonobstant ce contretemps, il dégusta une banane et s'accorda une pause bien méritée. Fuir lui était secondaire, car sa véritable préoccupation était de changer d'identité. En priorité il lui fallait falsifier le document numérique qui lui servirait à s'infiltrer dans l'ambassade. Le risque était de tomber sur la patronne du service des fraudes : une femme redoutable au charme irrésistible et qui était parvenue à ce poste diplomatique stratégique dans le but de devenir la souveraine du lieu.
Enigma contacta Léo pour s'assurer de la déconnection de tous les détecteurs de mouvement et de fumée.
Puis elle prit son manurhin chargé, un brouilleur électronique, se dirigea vers la salle des caméras de surveillance. Mais voilà que tout à coup surgit un énorme cube rouge holographique représentant un petit crane rituel satanique. “Suis-je en enfer numérique simulé ?" se demanda-t-elle tétanisée face à ce mirage technologique. Il s'agissait de réfléchir rapidement.
Évidemment, tout ce scénario avait été orchestré par l’ignoble gardien du site. Léo guida Enigma vers la salle des coffres-forts puis il lui ordonna de bloquer toutes les issues et d'appeler son énorme molosse Garry afin qu’il les protège.
Enigma regarda autour du bâtiment circulaire : tout semblait calme. Mais il ne fallut qu'une seconde pour que tout bascule vers une direction inopinée.
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BON. LES GENS, BONNE NOUVELLE, ON A FINI LE PREMIER CHAPITRE AU BOUT DE 256 MESSAGES (un chapitre fait 20 lignes, on en avait décidé en juin-juillet, je crois)
Désignez qui le publiera, j'imagine que y'en a qui préfèrent le publier, vu le taff qu'ils ont investi là-dedans.
Règles du jeu:
maximum 12 mots à la fois. Vous avez le droit de répéter le processus autant que vous voulez, donc d'orienter l'histoire dans la direction où vous le voulez.
Ah, et, on garde ces règles-là:
@Kanekowo#3990 -Essayez de créer des phrases cohérentes.
-Venez, on évite les phrases du genre '' le chat s'est fait violé ses grands morts'' ou ''j'ai fait le rainbow kiss avec ma daronneuh''. S'il vous plaît, on vaut tous mieux que ça. Protégez les gamins de dix ans qui tomberont ici.
Nouvelle règle: vous n'êtes pas obligés de copier-coller systématiquement, il suffit juste de citer le message d'avant et de mettre vos mots en plus des leurs.
Tous les quinze messages, on fait une réunion des bouts, on cite, on recommence. Comme ça, vous aurez moins peur d'écrire ici.
Après tout cela, recommençons ! Je relance.
Une porte froide et moisie se terrait au fond du long couloir,